310 pages
24 €
La déchirure, de l’autre côté de Patrick Minland
Le livre
Après un coma de trois semaines, je me retrouve avec une mémoire étonnamment claire de cette période. Des tonnes de secrets et d’histoires se dévoilent, sans rien omettre ni rejeter. Suivez-moi dans une enquête approfondie où j’ai décortiqué ces souvenirs d’outremoi, révélant un côté caché de l’être. Mais ce n’est que le début, car mon parcours m’a conduit au cœur même de l’univers hospitalier, un monde inconnu pour moi. Poussé par un devoir de partage inexplicable, je vous livre cette incroyable plongée dans les mystères de l’être jusqu’à la rencontre ultime. De retour, un tourbillon de questions émerge, mêlant raison et perceptions dans un fascinant ‘carnet de voyage’. Ce récit est une source d’espoir pour tous ceux qui sont touchés de près ou de loin par l’hôpital, la maladie et ces Anges blancs. Découvrez une expérience unique où les images immuables d’un long scénario se rejouent sans cesse dans ma tête, révélant les conversations des équipes de réanimation lors de ce curieux voyage comateux…
La déchirure. C’est le voyage d’un coma qui ouvre encore une fois, la voie à de nombreux mystères. Sans jamais être mélo ou dramatique, c’est un bien bel hommage à la guérison comme aux curieux hasards qui forment des destins . Celui-là interroge et questionne tant les analogies et les logiques de l’être se croisent sans arrêt. Une belle dose de surprises qui se regarde comme un film venu … d’on ne sait où.
Cette déchirure est en fait une trip vers l’inconnu: le coma. Que se passe t il donc entre l’urgence et le réveil? Plus qu’un livre de « souvenirs », clairs , intacts et lumineux, l’auteur nous guide dans les dédales du mystère et de l’inconnu jusqu’au bout de sa limite: la mort. Dans cette part inconscient qui sait mêler et décroiser des histoires issues de toutes nos racines, je me suis trouvé plongé au milieu d’une nouvelle géographie. Le style comme les mots m’ont poussé à devenir « acteur » tentant de répondre à la question: « pourquoi suis-je revenu? » Mais puisque l’inconscient joue avec les archétypes, et les symboles, voilà que l’auteur sait parler « aux hiéroglyphes ». Encore mieux ! pour rationaliser un tel voyage qui visiblement, et quelque soit l’explication rationnelle que l’auteur a souhaité conserver, il faut bien admettre qu’il y a quelque chose d’autre…