196 pages, 15,50 €
eBook: 10, 99 €
4e de couverture
Tout a commencé le 6 avril 1992
Jaslina, jeune fille Bosniaque musulmane aime Bozzo un ami de son frère. Bozzo habite à côté de chez elle, de l’autre côté du pont de Mostar. Il est Croate et chrétien.
Leurs parents respectifs ne voient pas d’inconvénient majeur à cette idylle, jusqu’au jour où le conflit des Balkans éclate.
La seule alternative qui s’offre à ces deux amoureux pour échapper à la guerre s’appelle Dubrovnik. Là, à l’abri de la forteresse et des remparts de « la perle de l’Adriatique », l’avenir semble enfin leur sourire.
Le destin ne tardera pas à les rattraper…
La liberté ne se vend pas, même pour tout l’or du monde (devise de Dubrovnik)
Interview
Qu’est-ce qui vous pousse à écrire ?
Exprimer des idées personnelles et relever le défi de réussir à les exprimer par l’écriture
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Pour dénoncer les luttes absurdes qui endeuillent le monde, entre clans, religions, nations
Comment vous en est venue l’idée ?
Le désir d’écrire un roman d’amour sortant un peu de l’ordinaire.
Témoignages
Témoignage de Béatrice
L’écriture est talentueuse, la trame captivante et la réflexion profonde.
B.P.
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Témoignage de Monique Lamarche
Je viens de terminer « Rien qu’un faire-part » d’Abraham De Voogd.
J’ai adoré la lecture de cet excellent roman qui nous dévoile, sur fond de guerre des Balkans, les aspects profonds de la condition humaine à travers deux êtres attachants et émouvants mais aussi fragiles de par leur situation et emportés par l’implacable machine à broyer des nationalismes et des fanatismes d’une société en déliquescence après avoir été longtemps cadenacée et figée.
L’auteur nous dépeint à merveille et avec une grande sensibilité cette magnifique histoire, dans ce contexte de folie meurtrière.
Une fois plongée dans ce roman, je l’ai dévoré jusqu’à la fin sans voir le temps passé tellement j’étais captivée par l’histoire.
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Témoignage de Maria Labeille, poétesse et écrivain
L’auteur, Pygmalion de grand talent, a conçu et sculpté en mots – avec délices – une belle Jaslina ; belle au regard et intérieurement. Nous autres lecteurs, comme son créateur, tombons sous le charme de cette lumière vivante qui éclaire de son aura et enlumine une pourtant terrible page d’histoire contemporaine.
Témoignage de Franck V (95)
j’ai pris un grand plaisir à votre « Rien qu’un faire-part », si poignant et si cruel à la fois, qui m’a un peu ouvert aux arcanes de la Bosnie Herzégovine, cette partie du monde déchirée, détruite par des guerres fratricides et dont nous avons du mal, dans notre France, à dénouer l’écheveau.
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